Légende urbaine : les chiens de l'au-delà...

15/10/2008 23:51 par happy-halloween

  • Légende urbaine : les chiens de l'au-delà...

    Légende urbaine : les chiens de l'au-delà...

    15/10/2008 23:51 par happy-halloween

Les chiens de l'au-delà...

Une jeune femme d'une trentaine d'années venait de perdre son mari. Attristée par cette terrible perte qui venait de la frapper, elle ne pouvait supporter cette situation et alla au cimetière où la tombe du malheureux défunt se trouvait en début d'après-midi.

Arrivée au cimetière, qui était vide compte tenu de la chaleur mortelle, elle se dirigea vers la tombe de son mari.

La douleur de cette perte était telle qu'elle craqua elle se mit à pleurer toutes les larmes de son corps à genoux sur la tombe, elle ne se calmait plus dans un dernier sanglot elle commença à se relever elle sentit une présence derrière elle.

Elle se retourna...et vit deux gros chiens noirs qui la fixaient comme une proie... .ils allaient lui bondir dessus.

Apeurée, elle prit ses jambes à son coup et courut le plus rapidement vers la sortie du cimetière.

Les chiens la prirent en chasse elle les entendait grogner et se rapprocher de plus en plus, elle pouvait sentir le souffle chaud des molosses sur ses mollets.

Une fois sorti du cimetière dans un dernier espoir elle se retourna dans l'espérance de voir que ses deux gros chiens ne la suivaient plus.
Mais bizarrement les chiens avaient disparu, ils n'étaient plus à sa poursuite. Ils avaient disparu.
Quelques jours plus tard, elle retourna au cimetière mais cette fois-ci, en fin de journée quand il y avait du monde, en allant vers la tombe de son mari elle vit le gardien de cette nécropole elle alla lui raconter son histoire avec les chiens.

Mais là, le gardien, qui devait avoir vécu de nombreuses histoires vu son âge élevé, devint livide il bafouilla puis reprit son calme et lui expliqua qu'il n'y avait jamais eu de chien dans ce cimetière.

Mais surtout, il lui expliqua cette légende qui dit : après la perte d'un proche cher si tu pleures toutes les larmes de ton corps sur la tombe, le mort reviendra ou enverra quelqu'un ou quelque chose pour te tuer ce qui te permettra de le rejoindre dans les ténèbres
Le gardien du cimetière en était persuadé la légende avait parlé.

Cette histoire est une histoire vraie, mais pour savoir si c'est vraiment son mari qui a envoyé ces chiens, ça personne ne peut le dire. Mais on peut être sûr maintenant que les légendes n'ont pas de frontière.

 

FIN

L'inconnue du fleuve

13/10/2008 23:15 par happy-halloween

  • L'inconnue du fleuve

    L'inconnue du fleuve

    13/10/2008 23:15 par happy-halloween

L'inconnue du fleuve

L'affaire dont je témoigne date des années 60. Pour des raisons de secret professionnel et de discrétion, je me permets de changer le nom de ses protagonistes et celui de la ville où elle s'est déroulée. Mais tout le reste est exact, j'étais moi-même interne à la Faculté de X. au moment des faits, et assistais le Professeur L. spécialiste de Médecine Légale pour me faire de l'argent de poche, avant d'obtenir mon doctorat et d'ouvrir mon propre cabinet.

Ce matin-là, lorsque je me penchai sur le tiroir réfrigéré, écartant la toile qui ceignait le cadavre prévu pour le cours de dissection, je tressaillis.

Jamais encore depuis que je me livrais à des travaux d'approche, à l'Institut de Médecine Légale, je ne m'étais trouvé en présence d'un corps si beau, si pur, aux traits si fins.

Une jeune fille blonde, aux yeux bleus d'eau, à la peau nacrée, que l'on pouvait croire endormie, m'apparut. Au lieu des odeurs fortes des produits conservateurs luttant contre la pourriture, il émanait de la boîte, un parfum délicat, indéfinissable.

Muet, comme frappé de stupeur, je ne pus arracher mes yeux de cette harmonie, de cette grâce. Chargé de la préparation des instruments, des tissus et des organes pour le cours d'autopsie légale, je ne me résolvais pas, malgré l'heure avancée, à mutiler ce corps trop parfait.

Je m'enquis, par téléphone, auprès du responsable de la morgue, de la provenance de ce cadavre. Il m'apprit qu'il s'agissait d'une inconnue repêchée dans la ... voici plusieurs mois.

Le corps n'ayant jamais été réclamé par la famille et l'enquête diligentée par le parquet n'aboutissant pas à lui donner une identité, nous en héritions le plus légalement du monde, tous les délais ayant été respectés.

Lorsque la cohorte bruyante des étudiants envahit l'amphithéâtre, j'étais encore debout, paralysé, sous le charme, sans avoir commencé l'autopsie.

A l'entrée du Professeur L. je n'étais pas plus avancé.

Selon son habitude, L. suspendit son manteau à la patère et revêtit sa blouse de travail tandis que son assistante l'aidait à enfiler ses gants. Il s'approcha de la table de dissection et me salua.

Me voyant immobile et trouvant mon attitude plutôt curieuse, il m'apostropha de sa voix chaude aux accents méridionaux :

- Eh bien Ludovic, quelle belle brune avez-vous préparé pour servir d'exutoire aux instincts libidineux et pervers de vos petits camarades ?

Il faut dire qu'en général, les dépouilles humaines aboutissant là n'étaient guère ragoûtantes !

J'avouai piteusement :

- Je n'ai pas osé la toucher, Monsieur ! Regardez !

Il y eut des rires moqueurs et des coups de sifflet dans les travées des gradins. Mais alléchés, plusieurs étudiants déferlèrent vers l'estrade.

Le Professeur se pencha à son tour, entouré par ses élèves, et admit simplement :

- C'est vrai qu'elle est belle ! Mais nous sommes ici pour travailler. Cette petite est morte. Nous ne pouvons plus rien pour elle. C'est justement pour sauver d'autres belles filles comme cela que vous étudiez la médecine. Profitons de son intégrité apparente pour voir de quoi elle est morte, quel mal sournois a interrompu sa vie dans la fleur de sa jeunesse. Scalpel !

De ses doigts gantés L. souleva une paupière. Un iris d'un bleu pur apparut, lumineux, intense, presque insoutenable.

Assailli par le doute, il tâta la peau restée souple, ordonna à ses assistants d'installer le cadavre sur la table de dissection et de le soumettre aux instruments de contrôle.

Comme prévu, la pression sanguine se révéla nulle et l'encéphalogramme plat. Ouf ! Aucun doute, elle était bien morte.

Pourtant, lorsque la lame précise du professeur fendit sa peau à la fois élastique et ferme, sans nulle trace de corruption, des gouttes de sang perlèrent tout le long de la blessure, comme de précieux rubis.

Fascinés, les élèves restèrent muets. Nul ne risqua plus de plaisanterie. Lorsque la scie découpa les côtes, plus d'un, sans oser se l'avouer, s'attendait à ce que, au fond du thorax ouvert, apparût le coeur palpitant de la jeune inconnue, comme dans un film d'épouvante.

Soudain, en une fraction de seconde, notre univers de logique scientifique bascula dans l'irrationnel. Pour ce professeur célèbre et notre groupe d'étudiants, imprégnés de certitudes immuables, les connaissances, les lois que nous avions chèrement apprises, semblaient ne plus avoir cours, et perdaient leur emprise sur le réel.

Le cadavre de la jeune inconnue, dépecé avec précaution, les viscères prélevés pour l'autopsie, nous analysons le contenu des poumons, de l'estomac, de l'intestin sous les directives du professeur de plus en plus perplexe.

L. finit par admettre, avec une visible répugnance, devant ses élèves réunis, qu'il se passait sous nos yeux un phénomène inconnu, d'une très haute improbabilité, encore inexpliqué, mais qui comme tout phénomène trouverait tôt ou tard son explication.

Ses conclusions, qui nous frappèrent tous, nous qui assistions ce matin-là à cet incroyable cours magistral, fut que :

Primo : Bien qu'elle fût morte, selon les critères universellement admis par la science, les organes et les tissus de la jeune fille n'étaient absolument pas lésés ni corrompus.

Secundo : Bien qu'elle ne respirât plus, que son coeur ne battît plus, que son cerveau ne fût plus irrigué, le corps de l'inconnue semblait absolument intact, prêt à repartir, pour peu qu'on lui insufflât le souffle vital, que l'élan soit redonné à son organisme.

Tertio : Une telle situation était sans précédent, impensable ! Seule pouvait être avancée une explication hasardeuse, l'hypothèse cryogénique par exemple. (Abaissement de la température stoppant le mouvement des particules atomiques.) Or, le corps qu'ils avaient devant eux, bien que conservé au froid depuis plusieurs mois, n'était pas congelé, et se trouvait préalablement soumis à la température ambiante en vue de l'autopsie.

Le temps du cours étant écoulé, le professeur L. nous libéra, mais décida de se livrer personnellement à une nouvelle expérience.

Il s'en ouvrit à ses assistants dont j'étais.

- Nous allons restaurer ce corps, recoudre minutieusement chaque organe à sa place, comme si ce cadavre était encore en vie, et nous allons étudier ce qui va se passer.

Aidé de toute son équipe, le professeur passa plusieurs heures à remettre chaque élément de ce puzzle dans son état primitif.

Ainsi reconstituée, la jeune inconnue n'était plus que la caricature de ce qu'elle fut. Le corps et le visage ravagés par les coutures, les chairs tuméfiées, boursouflées, elle avait perdu tout mystère et toute beauté.

La journée passa vite. Le soir venu nous remîmes avec précaution le cadavre dans son tiroir réfrigéré et allâmes dîner ensemble dans un troquet proche de l'institut. Au cours du repas, les questions fusèrent :

- A votre avis, professeur, que s'est-il passé, comment expliquez-vous ce phénomène ?

- Je ne me l'explique pas.

- Mais vous..., vous imaginez des hypothèses? risquai-je.

- Certes, mais si je vous les exposais vous les trouveriez tellement farfelues que vous hésiteriez à poursuivre vos études et vos recherches sous ma direction !

- Vraiment ?

- Ecoutez Ludovic, j'ai soixante-deux ans. Il y a bien cinquante ans que je ne crois plus au père Noël, quarante-cinq ans que j'ai perdu la foi en un Dieu barbu et omnipotent ou aux bonnes fées des contes de mon enfance. Voici quarante ans que je dissèque des corps d'animaux ou d'êtres humains, sans y avoir jamais découvert la moindre âme ou parcelle de transcendance. Or là, ce matin, nous venons vous et moi d'assister, à ce que pudiquement j'appellerai un phénomène paranormal, mais qui pour d'autres représenterait certainement un miracle. Alors des hypothèses...

- Du moins votre sentiment ?

- Je pense qu'il existe dans l'univers autant de forces, de puissances, de phénomènes inexpliqués à ce jour qu'il y en a de connus, d'expliqués, de scientifiquement admis. Dans le cas précis qui nous préoccupe, je dirais simplement qu'une "énergie" inconnue semblerait avoir suspendu provisoirement les lois biologiques qui régissent habituellement la lente corruption des corps privés de vie.

Mais je vous parie que tôt ou tard la nature aura repris ses droits et que cette petite merveille ne sera plus hélas que puanteur et charogne. Cela vous satisfait-il ?

- En tout cas si elle ne résout rien, votre explication a le mérite de la clarté et de la simplicité. Le dîner achevé le professeur L. nous nous séparâmes pour nous reposer des fatigues de cette harrassante journée.

Mais dès l'aube, sans nous être donnés le mot, nous nous sommes tous retrouvés au laboratoire de dissection, curieux de voir l'état dans lequel nous retrouverions notre "belle patiente".

Lorsque j'ouvris le tiroir, en retenant mon souffle, j'eus un choc : La jeune fille nous souriait, plus belle qu'avant, intacte, immaculée, sans que nulle trace ne laisse apparaître sur son corps parfait, les outrages conjugués du scalpel et des sutures.

FIN

Dr Ludovic N.

Légende : Le lac des maudits !

13/10/2008 22:59 par happy-halloween

  • Légende : Le lac des maudits !

    Légende : Le lac des maudits !

    13/10/2008 22:59 par happy-halloween

Le lac des maudits

Près de la ville de Flers se trouve un bois dans lequel est renfermé un étang, ou plutôt un petit lac. Ce lieu est silencieux et isolé, et le mirage des grands arbres estompe la surface du lac de teintes si sombres qu’on se prend à rêver de quelque effrayant mystère qui se cache, comme un limon impur, au fond de ces eaux dormantes.

Il y a beaucoup, beaucoup d’années, dit la tradition, existait, sur cet emplacement, un couvent, fondé par un pécheur repentant, en expiation de ses péchés. Durant les premiers temps de la fondation, les moines menèrent si sainte vie que les habitants de la contrée environnante accouraient en foule, pour être édifiés de leurs pieux exemples et de leurs touchantes prédications. Mais le couvent devint riche et somptueux, et, peu à peu, les moines se départirent de la stricte observance de leur règle.

Bientôt, l’église du monastère demeura fermée, les chants religieux cessèrent de retentir sous ses voütes, une clarté triomphante ne vint plus illuminer ses sombres vitraux, et la cloche de la prière ne fit plus entendre son tintement matinal pour réveiller tous les coeurs à l’amour de Dieu. Mais, en revanche, le réfectoire, réjoui de mille feux, ne désemplissait ni le jour ni la nuit; des choeurs bachiques, où perçaient des voix de femmes, frappaient tous les échos de leur sacrilège harmonie, et les éclats d’une folle ivresse annonçaient au voyageur et au pèlerin qui passaient devant l’enceinte du monastère que le sanctuaire de la dévotion et de l’austérité s’était transformé en une Babel d’impiétés et de dissolutions.

C’est ainsi, il arriva que, la veille d’une fête de Noël, les moines, au lieu d’aller célébrer l’office, se réunirent pour un profane réveillon. Cependant, quand vint l’heure de minuit, le frère sonneur étant à table avec les autres, la cloche qui, d’ordinaire, se faisait entendre à cette heure pour appeler les fidèles à la messe, commença a sonner d’elle-même ses plus majestueuses volées. Il y eut alors, dans le réfectoire, un moment de silence et de profonde stupeur. Mais un des moines les plus dissolus, essayant de secouer cette terreur glaçante, entoura d’un bras lascif une femme assise à ses côtés, prit un verre de l’autre main, et s’écria avec insolence :

« Entendez-vous la cloche, frères et soeurs ? Christ est né, buvons rasade à sa santé ! »

Tous les moines firent raison à son toast, et répétèrent, avec acclamation :

« Christ est né, buvons à sa santé ! »

Mais aucun d’eux n’eut le temps de boire: un flamboyant éclair, comme l’épée de l’archange, entrouvrit la nue; et la foudre, lancée par la main du Très-Haut, frappa le couvent, qui oscilla sous le choc, et tout à coup s’abîma à une grande profondeur dans la terre. Les paysans, qui s’étaient empressés d’ accourir à la messe, ne trouvèrent plus, à la place du monastère, qu’un petit lac, d’où l’on entendit le son des cloches jusqu’à ce que le coup de la première heure du jour eüt retenti.

Chaque année, disent les habitants du pays, on entend encore, le jour de Noël, les cloches s’agiter au fond du lac; et c’est seulement pendant cette heure, où les moines sont occupés à faire retentir le pieux carillon, que ces malheureux damnés obtiennent quelque rémission aux tourments infernaux qui les consument de leurs plus dévorantes atteintes.

FIN

Dessert : Cupcakes au chocolat noir

12/10/2008 22:56 par happy-halloween

  • Dessert : Cupcakes au chocolat noir

    Dessert : Cupcakes au chocolat noir

    12/10/2008 22:56 par happy-halloween

Cupcakes au chocolat noir

Ces cupcakes sont aussi mousseux et legers qu'un cupcake doit l'etre. Si legers qu'il est meme presque impossible de les manger sans les avoir places un petit moment au frais pour les raffermir. Attention toutefois a les sortir du refrigerateur suffisamment tot pour ne pas les servir trop frais. A ce stade, ils sont parfaits. Ils ont atteint la "moelleusité" maximale sans depasser la limite qui obligerait a se servir d'une petite cuillère.

En plus d'une texture parfaite, leur gout chocolat noir et cacao leur donne un sacre caractere qu'on ne trouve pas assez souvent dans un cupcake. Impressionnant, et si simple a realiser !

Ingrédients pour 12 cupcakes :

- 8 CS de beurre (115 g),
- 2 ounces (70 g) de chocolat a 52% de cacao minimum, concassé,
- 1/2 tasse (70 g) de cacao en poudre de type Van Houten,

- 3/4 de tasse (105 g) de farine,
- 1/2 CC de bicarbonate de soude,
- 3/4 CC de levure chimique,

- 2 gros oeufs,
- 3/4 de tasse (110 g) de sucre en poudre,
- 1 CC d'arome vanille,
- 1/2 CC de sel,
- 1/2 tasse (120 ml) de creme fraiche (ou de sour cream).

Réalisation :

1. Ajuster la grille au milieu du four et préchauffer à 350 degres Fahrenheit, 175 degres Celsius.
Remplir un moule a 12 muffins de taille standard de caissettes en papier (taille ou capacité d'un muffin standard: une demi tasse, 120 ml).

2. Fondre le beurre, le chocolat et le cacao dans une petite casserole à feu doux, en fouettant régulierement, jusqu'à ce que le melange soit bien onctueux. Laisser tiedir.

3. Dans un bol, fouetter la farine, le bicarbonate de soude et la levure.

4. Dans un récipient de taille moyenne fouetter les oeufs, puis ajouter le sucre, la vanille et le sel, et fouetter jusqu'a complète incorporation. Ajouter le melange beurre/chocolat/cacao; fouetter à nouveau pour mélanger.

Tamiser environ 1/3 du mélange-farine par dessus et fouetter jusqu'à complète incorporation. Verser le crème, fouetter. Tamiser le reste du mélange-farine, fouetter jusqu'à ce que le mélange soit bien homogène.

5. Diviser la pâte dans les caissettes sans depasser la moitie de la capacite. Il va rester un peu de pâte pour 1 muffin ou 2 petits. Avec le reste de pâte, je remplis a moitie 2 petites tasses a café.

Cuire de 18 à 20 minutes, jusqu'à ce qu'un cure-dent inséré au centre d'un muffin en ressorte propre.

6. Laisser les gâteaux refroidir dans le moule sur une grille pendant 15 minutes au moins puis retirer les caissettes delicatement du moule et laisser complètement refroidir sur la grille. Quand les cupcakes sont a température ambiante, procéder au glaçage.

7. Pour le glaçage : déposer de la crème fraîche et décorez selon vos envies.

8. Décorer avec des bonbons pour halloween.

Dessert : Cupcakes aux fraises

12/10/2008 22:30 par happy-halloween

  • Dessert : Cupcakes aux fraises

    Dessert : Cupcakes aux fraises

    12/10/2008 22:30 par happy-halloween

Cupcakes aux fraises

Pour 12 cupcakes à la fraise

Ingrédients qu'il vous faut :

  • 4 oeufs
  • 200 g de beurre mou
  • 200g de sucre
  • 200g de farine
  • 1 sachet de levure chimique
  • 1 cuiller à café de confiture de fraises par cupcake
  • 12 fraises séchées (Epiceries fines)

Pour le glaçage :

  • 200 à 250 g de sucre glace
  • 1 blanc d'oeuf
  • le jus d'1/2 citron
  • Quelques gouttes de colorant alimentaire rose (facultatif)
Réalisation :
 
Beurrez votre moule à muffins ou emplissez les alvéoles avec des caissettes en papier. On en trouve très facilement en grande surface.

Versez votre sachet de levure dans la farine et mélangez grossièrement. Mélangez les oeufs et le sucre.

Ajoutez progressivement le beurre mou et la farine + levure à votre préparation oeufs/sucre. Mélangez pour avoir une texture homogène.

Préchauffez votre four à 180°C, chaleur tournante.

Garnissez chaque alvéole avec une cuiller à soupe de pâte. Ajoutez ensuite dans chaque une cuiller à café de confiture de fraises, et terminez avec une autre cuiller à soupe de pâte.

Enfournez à four chaud pour 20 minutes de cuisson. Laissez ensuite refroidir sur grille

Préparez votre glaçage :

Mélangez le sucre glace, le blanc d'oeuf et le jus de citron jusqu'à obtenir une consistance assez pâteuse. Tout dépend de la taille de votre blanc d'oeuf. Commencez par mettre 200g de sucre glace et si c'est encore un peu liquide, rajoutez les 50g supplémentaires. Versez les quelques gouttes de colorant alimentaire rose pour obtenir la couleur souhaitez. A l'aide d'un couteau à tartiner, glacez votre premier cupcake.
 
Ajoutez au sommet du gâteau une fraise séchée et décorez autour avec des bonbons pour halloween !

Dessert : Cupcakes citron/framboise

12/10/2008 21:41 par happy-halloween

  • Dessert : Cupcakes citron/framboise

    Dessert : Cupcakes citron/framboise

    12/10/2008 21:41 par happy-halloween

Cupcakes Citron/Framboise

Pour environ une dizaine de Cupcakes

Ingédients qu'il vous faut :

      • 200 gr de sucre
      • 200 gr de farine
      • 1 sachet de levure chimique
      • 4 oeufs
      • 100 ml d'huile de tournesol
      • 1 citron
      • Des framboises
      • 1 goutte de bergamotte ( facultatif)

Réalisation

- Dans un saladier, mélanger le sucre, la farine et la levure.

- Incorporer, en fouettant vivement, l'huile et les oeufs.

-Ajouter le jus + le zeste du citron, et éventuellement l'essence de bergamote.

- Verser la pâte dans des moules en silicone préalablement beurrés.

- Déposer 3 framboises dans chaque moule (pas la peine de les enfoncer, elles le feront toutes seules).

- Enfourner à 180°C (th6) pendant environ 25 minutes. Les cupcakes doivent être dorés.

- Glacer (ou pas) avec un mélange (pas trop liquide, assez épais) de sucre glace et de jus de citron (ou d'eau).

- Décorer selon vos goûts avec des bonbons d'halloween.

Les Cupcakes

12/10/2008 21:27 par happy-halloween

  •  Les Cupcakes

    Les Cupcakes

    12/10/2008 21:27 par happy-halloween

Les Cupcakes

Les cupcakes sont des petits gâteaux délicieux, à réaliser selon nos goûts et super pour décorer. 

Quelques images pour vous donnez des idées de décor :

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L'histoire de Candyman

24/09/2008 02:59 par happy-halloween

  • L'histoire de Candyman

    L'histoire de Candyman

    24/09/2008 02:59 par happy-halloween

Candyman

Helen Lyle est étudiante à l'université d'Illinois à Chicago et mariée à un professeur, Trevor. Avec son amie Bernadette, elles rédigent une thèse sur les légendes urbaines et les croyances populaires. Au cours de ses investigations, elle est interpellée par une histoire récurrente, celle du mythique Candyman qui terrorise les habitants du quartier défavorisé de Cabrini Green depuis des décennies, assassinant des femmes et des enfants principalement. Helen sentant qu'elle tient là l'occasion rêvée de pimenter son travail, convainc Bernadette d'aller enquêter sur les lieux mêmes des crimes, dans la cité sordide de Cabrini Green, un ghetto noir livré aux gangs et à la misère.

Elles se rendent à l'appartement de la dernière victime en date, persuadées qu'en fait de fantôme, le meurtrier s'introduit dans les appartements grâce à un défaut de conception permettant la communication entre les salles de bains par un passage situé derrière les miroirs. Sur place, Helen découvre un appartement laissé à l'abandon et recouvert de graffitis étranges et inquiétants. Elles font ensuite la connaissance de la voisine Anne-Marie qui élève seule son bébé et accepte de leur dire ce qu'elle sait.

Plus tard au cours d'un diner en compagnie d'un éminent collègue de son mari qui travaille sur les mêmes sujets, elle apprend la véritable histoire de ce Candyman. Daniel Robitaille était un fils d'esclave dont le géniteur avait réussi à faire fortune grâce au brevet de l'invention d'une machine à fabriquer des chaussures. Daniel fréquenta les meilleurs écoles et reçu la meilleure éducation possible. Très doué artistiquement, il commença à gagner sa vie en portrayant de riches commanditaires. Ainsi en 1890 il fut mandaté par un riche propriétaire terrien lui commandant une peinture de sa fille encore vierge. Daniel et son modèle nouèrent une idylle et la jeune héritière tomba enceinte.

Le père furieux de cet affront (qui plus est commis par un noir) paya des brutes épaisses et avinées pour lyncher le pauvre Robitaille. Ils le rouèrent de coups avant de lui trancher la main droite puis le recouvrir de miel pour le livrer en pâture aux abeilles qui le piquèrent jusqu'à la mort. Ils incinérèrent ensuite son corps et répandirent ses restes sur les champs qui deviendront des années plus tard le ghetto de Cabrini Green. Depuis, toute personne qui récitera son nom à 5 reprises face à un miroir le verra réapparaître.

Et son destin sera funeste. Obsédée par ses recherches, Helen retourne à Cabrini et fait la connaissance d'un jeune garçon qui lui conte une énième histoire d'assassinat d'enfant perpétré plusieurs années auparavant. En voulant prendre des photographies des lieux du drame, elle est sauvagement agressée par une bande et leur chef armé d'un crochet de boucher. Blessée, elle parviendra malgré tout à confondre son agresseur devant la police qui croit avoir trouvé le meurtrier tant recherché qui semait l'horreur dans le quartier.

Quelques semaines plus tard dans un parking Helen est confrontée au véritable Candyman, furieux du scepticisme dont elle fait preuve, et contraint selon lui à se montrer à nouveau pour relancer le mythe, afin que les gens croient de nouveau. Helen s'évanouit devant lui et se réveille dans l'appartement d'Anne-Marie couverte de sang et un hachoir à viande à la main. Le bébé a disparu et la jeune mère est comme folle ; la police alertée intervient et arrête Helen. Interrogée, elle est finalement relâchée grâce au concours de son avocat et peut rentrer chez elle, où son mari ne lui est pas d'un grand secours, accaparé qu'il est par sa liaison avec une de ses étudiantes.

Chez elle, la jeune femme est à nouveau harcelée par Candyman, et la visite inopportune de Bernadette tournera au carnage. Une nouvelle fois les apparences accusent Helen qui, en plein délire, est internée dans un hôpital psychiatrique. Au cours d'une entrevue avec un médecin, elle invoque Candyman qui se présente et éventre le psychiatre avant de défaire les liens d'Helen, qui parvient à s'échapper de l'hôpital pour rentrer chez elle.

Là, elle a la désagréable surprise de constater que la jeune maîtresse de Trévor a déjà commencé à repeindre l'appartement à son goût (douteux).
Trahie, esseulée, Helen n'a plus qu'une idée en tête, retrouver le bébé disparu. Elle retourne à Cabrini et dans l'appartement abandonné du dernier étage, elle découvre le repaire de Candyman qui lui donne un baiser mortel et tente de la convaincre de l'accompagner dans sa quête meurtrière car elle lui rappelle son ancien amour perdu.

Helen accepte, et une fois réveillée elle se rue sur un grand tas de bois et d'ordures amassées aux pieds des tours d'où elle a entendu venir un cri d'enfant.
Rampant parmi les déchets, elle retrouve le bébé et le protège de Candyman. Pendant ce temps, les habitants du quartier se regroupent et croyant tenir là Candyman, ils mettent feu au bûcher. Helen parvient à s'extirper du brasier pour rendre le nourrisson à sa mère avant de succomber à ses brûlures. Lors de son enterrement, une foule d'habitants de Cabrini vient lui rendre un dernier hommage, une nouvelle légende est née.

L'ultime scène prend place à l'appartement de Trévor où celui-ci est rongé par le remords au grand dam de son ingénue nouvelle compagne. Mortifié, il prononce par 5 fois le nom d'Helen dans le miroir de sa salle de bain. Celle-ci apparaît derrière lui, portant les stigmates de sa mort tragique, et le sourire aux lèvres éviscère son ancien compagnon avec un crochet de boucher.

FIN

Halloween

24/09/2008 02:26 par happy-halloween

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    24/09/2008 02:26 par happy-halloween

Halloween

24/09/2008 02:23 par happy-halloween

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    24/09/2008 02:23 par happy-halloween